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pour toi Agostino
Aujourd'hui je veut te rendre hommage à toi mon ami.
Toi qui a été si courageux devant ta maladie que tu nous as caché pendant si longtemps, tu m'avais dit un jour que tu avais des problemes de santé mais sans vouloir me dire quoi. Tu ne supportais pas le soleil alors que tu l'aimais tant et je sais maintenant pourquoi tu t'en cachais.
Tu as eu un cancer de la peau que les meilleurs medecins n'ont pas réussi à soigner et il y a quinze jours tu nous as appelé pour nous dire la vérité et nous dire au revoir car les medecins ont arrété le traitement ca ne sers plus à rien, le cancer c'est généraliser.
A 28 ans on t'a annoncé que tu allait mourir et qu'il te restait 6 mois maximum avec la souffrance et l'angoisse d'attendre la mort.
Et hier tu as préféré choisir ta mort.
Tu n'es plus là.
Tu va me manquer, et ton mauvais anglais que je comprenais si bien aussi.
Bon voyage, je sais que tu ne souffriras plus et que tu sera en paix maintenant.
toutes mes pensées t'accompagne petit Ago.
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Commentaires
2bettyJeudi 29 Septembre 2005 à 16:033princeJeudi 29 Septembre 2005 à 19:43désolé
pour toi Betty...de tout coeur avec toi, si u as besoin je suis là, promis...bon courage... tendrement4bettyJeudi 29 Septembre 2005 à 19:52merci
petit prince. mais je sais que la il n'aura plus jamais mal alors je suis triste mais c'est mieux pour lui. bisous et merci pour ton soutiens5princeJeudi 29 Septembre 2005 à 22:36Peines
des peines et des souvenirs, des larmes et des regrets parfois....Dieu ne r'apelle que ceux qu'ils aiment disait un passage biblique...Encore que, partir comme cela à cette age là ou est Dieu dans tout cela? J'aime ta facon de voir les choses face a cela Betty, tu es forte lucide et ton hommage est beau, je m'y joins et te fais un doux baiser...A demain6princeJeudi 29 Septembre 2005 à 22:45reponse a ton...
com de l'autre post p'tite Betty...Pour le concours c'est pour une qualification supérieure à celle que j'ai actuellement étant fonctionnaire... si tu préfères un grade plus élévé...Pour ce qui est de l'éponge, la pauvre, elle se cache dés qu'elle me voit pénétrer dans la cuisine.Du coup je n'ai plus rien pour laver la vaiselle... lol Je crois que ce soir, stressé comme je suis je vais me manger la savonnette, mais bon je risque de "buller" toute la journée de demain...rire. Je ne serait peu être pas rentré pour te souhaiter le jour même ton anniversaire car je vais le passer loin de chez moi, alors j'èspère que tu ne sera pas trop sévère à mon égard (déja que mon éponge me fait la gueule...) Enfin voila c'était pour détendre un petit peu et puis te faire sourire un petit peu aussi..Tendre bisous Betty et a demain...7bettyVendredi 30 Septembre 2005 à 08:29merci
du fond du coeur petit prince d'être là et de me faire sourire, je me suis souvent poser la question "mais où es dieu" et je n'ai jamais eu la réponse je ne comprend pas. mais si tu as lu tout mes post tu sais tout la rage et l'angoisse que je ressend face a tot ca!!! et s'il te plait arrete de faire peur a cette pauvre éponge quand a la savonette elle n'a rien demandé non plus!!!! je ne t'en voudrai pas si tu n'es pas la ne t'inquiete pas. gros bisous a toi et merci encore8sensuelleVendredi 30 Septembre 2005 à 15:17courage
mon 1er post sur ton blog... (mais surment pas le dernier) chere betty que je lis depuis un petit bout de temsp maintenant... on ne se connais pas mais je voulais t'apporter totu mon soutien dans ce moment difficile courage pleins de penssée pour toi et ton ami si courageux9Mac léonVendredi 30 Septembre 2005 à 15:34Betty
Une poignée de secondes dans le creux de ma main... Au loin le cap qui plonge dans la mer collée au ciel bleu... Et cette montagne qui bientôt deviendra orangée. Le vent se lève, les arbres dans le maquis s'agitent... Une pensée pour toi Betty.10bettyVendredi 30 Septembre 2005 à 15:38sensuelle
merci pour se premier post ici et merci pour lui qui n'est plus la mais qui a été très courageux oui bisous11bettyVendredi 30 Septembre 2005 à 15:39Mac
comme j'aimerai voir ce si beau paysage qui me manque tant j'aurais bien besoin de venir me ressourcer dans notre beau pays. Merci et bisous12prince l'éponge...!!Vendredi 30 Septembre 2005 à 23:07lol
Bon moi de ma fenêtre je vois la mer les cotes sauvages, les bateaux de pêche et j'adore cela..d'ailleurs je crois que sans cela je ne vivrais pas si bien...(petit clin d'oeil ) bisous tendres Betty, allez c'est le dernier(?) week end seule mais par la pensée je t'accompagne... Prend bien soin de toi Betty13princeVendredi 30 Septembre 2005 à 23:12U corsu??
So corsu ne so fieru???? Je me suis laissé dire que tu étais Corse, lol.. et... Ti tenzu gara Betty... Bah vi, moi je le suis...14VolcaneLundi 3 Octobre 2005 à 11:03délivrance
Bouleversée de te lire ainsi ma chérie...Betty...tu as mille fois raison, il entend te smots, délivré enfin de ce poids...15bettyLundi 3 Octobre 2005 à 13:21merci ma belle
tu sais Volcane je me suis fais une raison c'est mieux que de souffrire merci d'être la bisous tendres16bettyMardi 4 Octobre 2005 à 09:26Prince
et oui je suis Corse et fière de l'être et je suis très heureuse de savoir que tu l'est aussi on pourra en parler ensemble avec Mac Léon!!! bisous Mon petit prince et merci encore de tes si gentils messages. KISSSSSSS17nEbMercredi 5 Octobre 2005 à 07:5518bettyMercredi 5 Octobre 2005 à 09:2319nEbMercredi 5 Octobre 2005 à 10:5520AgostinhoJeudi 24 Novembre 2005 à 02:39Je me nomme Agostinho
Voici ma lettre, tu vois comme le hazrd fait les choses... Lettre à mon frere, On est le 24 novembre, mais là, c'était un dimanche, en 1991, le téléphone sonne, ce n'est pas toi, c'est un homme qui me demande si je te connais, je n'ose pas lui répondre, car ce jour quelque chose en moi venait de s'éteindre et ce qu'il avait à me dire allait confirmer ce mal être de cette fin de journée... effectivement, tu es parti pour ne jamais revenir, ce jour là une autre personne t'a rencontrer, cette personne venait de te prendre à moi et celà à jamais... Celà s'appèle la mort... La mort est mal faite. Il faudrait que toi, mort, à mon appel, revienne, de temps en temps, causer un quart d’heure avec moi. Il y a tant de choses que je n'ai pas pu te dire quand tu étais là... car la vie souvent est bien trop courte pour celà. Aujourd'hui, je passerai ma journée avec toi, en pensant à toi, je regarderai encore une fois de plus le téléphone sonner en me disant qu'autrefois c'était toi... mais en espérant que ce n'est qu'un mauvais rêve et que cette fois-ci, j'entendrais le son de ta voix... cette voix qui me manque si souvent, toi que j'aimais et que j'aimerais à tout jamais... car toi seul su être mon vrai amis, nos coeurs étaient liés de ces liens que même la mort n'a jamais pu dénouer... mais je suis là de ce coté sans pouvoir te toucher et sans pouvoir partager, ce partage qui me manque tant aujourd'hui et que je ne retrouverai jamais... je pense très fort à toi et encore une fois je te le cri........... Je t'aime! Aujourd'hui, tu n'es pas là, tu es mort, et moi vivant, mais tu vis à travers moi et moi souvent je suis plus mort que vivant, tu vis en moi, mais moi je suis seul et perdu sans toi... mes joies, mes peines et ce téléphone que je n'ai plus besoins de décrocher pour téléphoner à celui avec qui j'aimais tant partager... Pardon de ne pas avoir pris le temps que la vie t'a donner pour te dire à quel point je t'aime. Et si aujourd'hui je m'accorche à la vie, c'est pour qu'à travers moi tu puisses continuer la tienne, mais il est parfois difficile de savoir pour laquelle des deux vies je vis, mais peut importe, je suis là, tu es avec moi, alors accrochons nous et profitons pleinement de ce nous avons encore aujourd'hui... Viens je t'emmène, on va faire un tour sur ma nouvelle moto, je te fais une place en moi, prends les commandes et partons... Je sais, mais j'ai le droit que tout être humain a, le droit de rêver... Je te dis aurevoir, je m'en vais fermer les yeux et te retrouver dans ce monde ou rien a changer... Tendrement, Ton petit frère qui t'adore...21AgostinhoJeudi 24 Novembre 2005 à 02:39Je me nomme Agostinho
Voici ma lettre, tu vois comme le hazrd fait les choses... Lettre à mon frere, On est le 24 novembre, mais là , c\'était un dimanche, en 1991, le téléphone sonne, ce n\'est pas toi, c\'est un homme qui me demande si je te connais, je n\'ose pas lui répondre, car ce jour quelque chose en moi venait de s\'éteindre et ce qu\'il avait à me dire allait confirmer ce mal être de cette fin de journée... effectivement, tu es parti pour ne jamais revenir, ce jour là une autre personne t\'a rencontrer, cette personne venait de te prendre à moi et celà à jamais... Celà s\'appèle la mort... La mort est mal faite. Il faudrait que toi, mort, à mon appel, revienne, de temps en temps, causer un quart dâ??heure avec moi. Il y a tant de choses que je n\'ai pas pu te dire quand tu étais là ... car la vie souvent est bien trop courte pour celà . Aujourd\'hui, je passerai ma journée avec toi, en pensant à toi, je regarderai encore une fois de plus le téléphone sonner en me disant qu\'autrefois c\'était toi... mais en espérant que ce n\'est qu\'un mauvais rêve et que cette fois-ci, j\'entendrais le son de ta voix... cette voix qui me manque si souvent, toi que j\'aimais et que j\'aimerais à tout jamais... car toi seul su être mon vrai amis, nos coeurs étaient liés de ces liens que même la mort n\'a jamais pu dénouer... mais je suis là de ce coté sans pouvoir te toucher et sans pouvoir partager, ce partage qui me manque tant aujourd\'hui et que je ne retrouverai jamais... je pense très fort à toi et encore une fois je te le cri........... Je t\'aime! Aujourd\'hui, tu n\'es pas là , tu es mort, et moi vivant, mais tu vis à travers moi et moi souvent je suis plus mort que vivant, tu vis en moi, mais moi je suis seul et perdu sans toi... mes joies, mes peines et ce téléphone que je n\'ai plus besoins de décrocher pour téléphoner à celui avec qui j\'aimais tant partager... Pardon de ne pas avoir pris le temps que la vie t\'a donner pour te dire à quel point je t\'aime. Et si aujourd\'hui je m\'accorche à la vie, c\'est pour qu\'à travers moi tu puisses continuer la tienne, mais il est parfois difficile de savoir pour laquelle des deux vies je vis, mais peut importe, je suis là , tu es avec moi, alors accrochons nous et profitons pleinement de ce nous avons encore aujourd\'hui... Viens je t\'emmène, on va faire un tour sur ma nouvelle moto, je te fais une place en moi, prends les commandes et partons... Je sais, mais j\'ai le droit que tout être humain a, le droit de rêver... Je te dis aurevoir, je m\'en vais fermer les yeux et te retrouver dans ce monde ou rien a changer... Tendrement, Ton petit frère qui t\'adore...
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Pas un mot.. mais toi tu sais. Tendrement et de tout mon coeur.